Je fais partie de ces enfants qui ont caressé deux rêves : celui de devenir un sportif de haut niveau (d’abord) puis de vivre ce milieu de l’intérieur (ensuite), par le biais du journalisme sportif. Aujourd’hui, je suis sorti de ce rapport de fascination pour le sport professionnel mais je demeure passionné par le jeu et hautement intéressé par son actualité. Le sport je le pratique (un peu), je le regarde (beaucoup), je l’écoute… Bref : je l’observe, je le vis avec passion mais aussi avec tout le recul et la distance suffisante pour conserver ma lucidité. De la presse au marketing digital, mon parcours professionnel a toujours été lié au sport et je l’ai toujours considéré comme la meilleure école, car tout y est poussé à l’extrême.
Doit-on parler de sport ou de sports ? Je suis entré dans le métier de journaliste sportif avec «mes» sports à l’esprit, ceux pour lesquels j’ai mouillé le maillot sur un terrain et qui me font me déplacer dans un stade ou une dans une salle pour prendre mon « shot » de spectacle et d’émotions. J’ai forgé ma plume comme rédacteur football et basket et j’ai pour ces deux disciplines une profonde culture tactique, technique et historique. Mais ne pas avoir une telle expertise pour d’autres sports doit-il me cantonner à ceux-là ? J’ai appris que non. Le sport est un langage universel, un ascenseur émotionnel et un puits sans fond d’histoires d’hommes et de femmes. Un reflet autant qu’un concentré de la société dans ce qu’elle a de pire et de meilleur, en matière de sport business comme de sport amateur.
Le journalisme sportif m’a ouvert les portes des médias, la communication digitale d’un club professionnel m’a confronté au community management et la rédaction web à l’équipement technique. J’ai touché à de nombreux formats éditoriaux autour du sport, j’ai goûté de l’intérieur à l’allégresse des grandes victoires et à la détresse des pires désillusions, j’ai piloté la communication en situation de crise et au cœur de polémiques. Tout va très vite dans le sport et le rédacteur web, le journaliste ou le chargé de communication doit avoir la réactivité et le sang froid pour faire face à toutes ces facettes passionnantes. Même dans un contexte parfois agité, les fondamentaux priment et le wording a plus qu’ailleurs son importance pour faire la différence avec la tonalité la plus pertinente.
Côté média, côté club et côté marque, j’ai expérimenté le marketing sportif sous plusieurs angles. Un fil rouge : un investissement sublimé par la passion.
Présentation et compte rendu de match, analyse technico-tactique, réactions, grands évènements : décrire, couvrir et décrypter le quotidien du sport.
La petite histoire derrière la grande, les acteurs qui font le sport spectacle : exploiter cette matière infinie pour aborder la compétition sous un autre angle.
Commentaires en direct à la radio ou à la télévision de matchs, en tribune ou en studio, l’émotion du live et le contenu documenté sur le contexte et les acteurs.
Production de contenus, community management, communiqués : gestion de la stratégie de contenu pour valoriser la marque et doper l’intérêt des fans.
Parlez-moi de votre projet, je suis tout ouïe.